Comment nous connaissons-nous en communauté?

Les instituts de formation d’avant le Concile Vatican II (postulats, noviciats, scolasticats) recommandaient de ne jamais parler de soi, encore moins de sa famille. La génération plus neuve est davantage soucieuse de «reconnaissance», et cela passe par la «connaissance». Cette nouvelle génération bavarde davantage sur elle-même, participe mieux aux événements familiaux des confrères. Peut-on dire pour autant que les jeunes se connaissent mieux entre eux que les anciens?

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