Mari-Luce Baillet aborde le thème de la Famille Marianiste dans une perspective féministe. Pour diverses raisons, il a été difficile pour les religieuses de trouver leur propre place. Même s’il y a eu de grands progrès, nous éprouvons encore des difficultés à nous mettre en relation avec deux niveaux dans la Famille Marianiste : homme-femme et laïcs-prêtres. Ce n’est pas une hérésie de dire que comme religieuses nous sommes en même temps des femmes et des personnes laïques. Par rapport au futur, elle estime qu’il est nécessaire d’avoir une meilleure connaissance de la personne. La collaboration future peut avoir lieu dans les domaines de la formation, initiale et permanente, dans la mission et dans la vie ensemble. Il s’agirait de construire ensemble un projet de vie dans la Famille marianiste.