Droits pluriels

L’auteur fait une réflexion sur la terminologie employée par la Règle de Vie pour désigner les membres de la Société de Marie. Dès le premier article des constitutions de 1891 on parlait de « sociétaire », parole disparue de la Règle actuelle. Celle-ci pèche peut-être par idéalisme, en faisant une impasse relativement marquée sur la nature de « société » de notre congrégation, et la qualité de « sociétaire » des membres, avec droits et devoirs clairs de part et d’autre.
L’auteur propose quelques correctifs à faire dans la vie courante :
– Introduire un cours minimum de droit lors de la formation au noviciat et au scolasticat.
– Introduire dans le Directoire de la Province les « statuts civils » de la Société lorsqu’elle est reconnue, comme c’est le cas en France. Il est important que les profès les connaissent et les possèdent puisque ces statuts les lient sur le plan civil tout comme la Règle de Vie les lie sur le plan religieux et ecclésial.

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